Amis lecteurs,
La liberté est une condition du bonheur. De ce fait, l’animalité de l’homme lui permet d’affirmer des désirs, qui sont l’expression de son moi-intérieur. D’où, l’homme exerce un jugement. Il construit sa nature d’être libre, pour être un acteur à part entière de son bonheur. Or, si sa quête spirituelle est portée sur l’avarisme et l’individualisme, il ne pourra en aucun cas, intériorisé les us et coutumes de la vie de la Cité. La mémoire de présente donc comme un facteur essentiel, à la propre conception de la vérité de l’individu, dans son rapport à autrui.
Dans leur interaction linguistique, les hommes font l’expérience de l’altérité. La relation permanente des individus à la société, favorise donc cet apprentissage de l’Histoire humaine. Par le langage et l’évolution de nos connaissances, on accomplit notre humanité. Dans ce contexte, la mémoire se transforme donc en une relation affective, qui lie une société à son passé. Ainsi, apparaît une unité culturelle et historique, qui n’est pas toujours partiale ! De ce fait, intervient le rôle de l’historien. Il entame dans la construction de sa démarche, une objectivité sur les faits passés, tout en répondant à une demande sociale de l’Histoire.
Bonne semaine à tout sur Mémoire et Histoire.