22 novembre 1963, une date gravée au fer rouge dans l’histoire des États-Unis. Un homme, John Fitzgerald Kennedy, est au coeur de la plus grande machination criminelle jamais orchestrée.
Assassinat politique ? Règlement de comptes de la mafia ? Ou complot castriste … Les pistes sont nombreuses et les rumeurs folles concernant ce mystérieux assassinat. 22 novembre 1963, Dallas, la ville de toutes les extravagances, porte en elle le deuil de tout un peuple, traumatisé ou soulagé, à l’annonce de la mort du président.
JFK, un crime et des complots
54 ans après ce terrible évènement, et les récentes découvertes, réalisées par l’administration Trump sur les dessous secrets de cette affaire, voici la chronique interdite de JFK et de son sombre rêve américain.
« Les gens ont besoin de leur histoire. Ils ont besoin de savoir que de vraies personnes ont vécus dans cette Maison » … Solennité et réserve de l’homme. Voilà ce qui peut caractériser l’ascension ultime de John Kennedy à la tête du pouvoir, lors de son élection à la présidentielle de 1960.
Immigré Irlandais et Chrétien Catholique, la sulfureuse réputation du nouveau sénateur de fait émule au sein de la famille politique des républicains.
Chez les Kennedy, le pouvoir est une véritable affaire de famille. Pour cette riche lignée de diplomates Anglo-saxons, la dominance électorale est une évidence. Et ça John l’a bien compris en menant une politique libérale et impérialiste à la tête de la première puissance du monde.
Véritable icône de la Guerre Froide, ce farouche opposant de l’URSS va réinventer la politique états-unienne, en désamorçant les discriminations raciales, initiant les recherches de l’aérospatial et retirant l’influence l’AMGOT sur ses alliés européens.
Pourtant, ce golden-boy de la politique américaine est tiraillé entre sa paranoïa des institutions et sa légèreté diplomatique. Un règne aussi éphémère que tendancieux, qui inaugura une ère de mensonges, de sexe et de magouilles à la tête de la Maison Blanche.
L'assassinat de JFK a marqué la culture américaine à tout jamais
Ce 22 novembre 1963, « On a tué le président ! ». À tout juste 46 ans, le héros du discours de Berlin et père fondateur du leadership libéral s’écroule douloureusement, lâchement assassiné dans l’ombre par le mystérieux Lee Harvey Oswald et sous les hourras d’une foule euphorique. Le mythe Kennedy, une histoire explosive entre passion et trahison.